(la fille de joie, le marin, le singe tueur, le mannequin et le prof de maths)
Chers lecteurs, pardon. J'avoue, je vous ai lamentablement abandonnés ces deux dernières semaines.
J'ai été très prise par ma petite vie de patachon, voyez-vous.
Et aussi, j'ai pas grand chose à raconter. En fait.
Mais comme vous réclamez tous des nouvelles à cor et à cris (on se m'arrache, ma parole), j'ai décidé de m'exécuter et de vous envoyer un petit post/carte postale de par chez moi.
(Non, je ne suis pas en Italie, juste j'aime bien cette chanson).
(Non, je ne suis pas en Italie, juste j'aime bien cette chanson).
Ca va être un post tout en vrac, je vous préviens tout de suite.
Post que je dédie par ailleurs à MoMA, qui m'a dit l'autre jour "J'aime bien ton style. Tu écris comme tu parles, ça me donne l'impression que tu es là", ce qui est probablement une des choses les plus touchantes qu'on m'ait dites à propos de mon blog. Du coup MoMa, ma petite rock star en sucre, ce post est pour toi. (Tu me manques).
Post que je dédie par ailleurs à MoMA, qui m'a dit l'autre jour "J'aime bien ton style. Tu écris comme tu parles, ça me donne l'impression que tu es là", ce qui est probablement une des choses les plus touchantes qu'on m'ait dites à propos de mon blog. Du coup MoMa, ma petite rock star en sucre, ce post est pour toi. (Tu me manques).
Avant toute chose, je tiens à vous dire que mes élèves vont bien, merci.
(Même Harrystote et Weed-Berlyne semblent survivre à l'école en dépit de leurs prénoms).
Ils apprennent tous, peu à peu, jour après jour, toute sorte de choses sur la vie, l'amour, la mort, le devenir, tout ça. Exemples :
(Même Harrystote et Weed-Berlyne semblent survivre à l'école en dépit de leurs prénoms).
Ils apprennent tous, peu à peu, jour après jour, toute sorte de choses sur la vie, l'amour, la mort, le devenir, tout ça. Exemples :
- Aaaah.... C'est comme ça que ça s'écrit un "cochon d'Inde" ?! Mais moi j'ai toujours cru que c'était la fusion entre un cochon et une dinde !
- Aaaah, alors les brésiliens ils parlent portugais parce que les portugais ont été s'installer là-bas ?! Moi je croyais que c'était les brésiliens qui étaient allés au Portugal pour apprendre la langue !
- Et les indiens d'Amérique, ils s'appellent des indiens parce que les indiens ils ont colonisé l'Amérique, c'est ça ?
- Mais en Australie y avait personne avant, si ? Non mais je veux dire avant avant avant ?
- Les anglais ils ont été prendre leur pays aux indiens ?! Vas-y comment
ça se fait trop pas, sérieux, t'as vu ? J'avoue ça se fait trop pas, ma
parole, vas-y.
Sinon j'ai mis mes premières heures de colle, écrit mes premiers mots dans des carnets de correspondance, et récolté ma première signature "de parent" au crayon de couleur (trop mignon).
(En même temps à leur âge, un jour, j'ai moi-même essayé d'imiter la signature de ma mère : j'avais d'abord dessiné, comme elle, un grand C comme Céleste (Céleste, la femme de Babar, oui. Voilà. Ca y est. Ma véritable identité est enfin révélée au grand jour), avant d'écrire dessus, consciencieusement : Bayane Mosby) (un échec, donc).
(En même temps à leur âge, un jour, j'ai moi-même essayé d'imiter la signature de ma mère : j'avais d'abord dessiné, comme elle, un grand C comme Céleste (Céleste, la femme de Babar, oui. Voilà. Ca y est. Ma véritable identité est enfin révélée au grand jour), avant d'écrire dessus, consciencieusement : Bayane Mosby) (un échec, donc).
Bref, tout va bien. Je n'avance pas des masses sur le front Isidor, par contre, je suis navrée. Pourtant il n'arrête pas de venir me parler quand par hasard on se croise dans les couloirs (parce que le reste du temps on bosse, en vrai) mais l'autre jour, quand je lui ai parlé du restau vietnamien à côté du bahut (où on peut manger des nouilles sautées au requin et au kangourou) et qu'il m'a dit, enjoué, "Cool, ben tu me préviens la prochaine fois que t'y vas ?", j'ai... j'ai bafouillé, et j'ai dit - c'est horrible - que ben euh en fait moi j'y vais jamais mais euh les autres ils y vont souvent en fait si tu veux donc je euh... Horrible. Affligeant. J'ai eu envie de me pendre.
(La famille Mosby, handicapés de la drague depuis 1805).
Bref, on n'est pas rendus.
(Je devrais évidemment rattraper le coup et aller le voir dans sa salle pour l'inviter à déjeuner, mais - soyons lucides - si je fais ça, je risque de me retrouver plantée dans l'encadrement de sa porte à bredouiller, paniquée, que je suis là parce que j'ai une question urgente à lui poser sur la Mésopotamie).
Par ailleurs, entre temps, le collège entier a décidé que je devais épouser Alf, qui s'est d'ailleurs gentiment proposé pour me faire des enfants ("Si toi et moi on a des enfants..." m'a t-il dit au dessert l'autre jour, à propos de rien). J'ai eu beau lui dire que je voulais appeler mon fils Pirlouit, ça ne l'a pas dissuadé (si c'est pas de l'amour, ça). En même temps, Alf et moi, avec nos deux bonnes tignasses de rouquins et sa pilosité foisonnante, on pourrait faire des petits ours, ça serait rigolo. Mais bon, Alf est prof de maths (il entretient le cliché), et, même si j'étais prête à passer outre la queue de cheval et le pantalon en velours vert côtelé - je ne le suis pas -, certains obstacles resteraient infranchissables (pas autant que le pantalon en velours et la queue de cheval, cela dit). En effet, quand je cite Romain Gary, Alf me répond en citant Gödel. (Peut-être a t-il lu A Date with Ariane, le petit malin ?). Bref, nos échanges sont de haute volée, je vous l'accorde (ça frime à la cantine), mais on avance assez peu. (Je ne suis pas très bonne en maths). (Reprenons : je suis une quiche intersidérale en maths). (En seconde, j'ai eu un 3/20 de moyenne. Mais c'est uniquement parce que le prof avait remonté la moyenne de tout le monde de 1,5 points).
Sinon je suis récemment tombée éperdument amoureuse de Romain Gary, mais hélas, Romain Gary est mort en 1980, un an avant ma naissance, à l'âge de 65 ans...
Encore une belle histoire d'amour qui n'aura pas lieu à cause d'une sombre histoire de timing.
Voilà voilà. Hum.
Je vous présente toutes mes confuses, je n'ai malheureusement rien de plus croustillant à raconter. On ne me dépose pas des missives d'amour ni des peignes pubiens dans mon casier, moi.
Oui parce que l'autre jour, Lady V est entrée dans son bureau à la fac pour découvrir qu'un de ses collègues s'y était introduit en son absence pour déposer sur sa table 1) une lettre d'amour et 2) un petit peigne. "Oh, un peigne de poupée, c'est mignon", s'est-elle tout d'abord exclamée, un peu interloquée. Puis elle a lu la lettre. Lettre qui lui révélait la nature réelle du mystérieux petit peigne.
...
Un peigne pubien. Un peigne pubien, quoi.
Bref.
(La famille Mosby, handicapés de la drague depuis 1805).
Bref, on n'est pas rendus.
(Je devrais évidemment rattraper le coup et aller le voir dans sa salle pour l'inviter à déjeuner, mais - soyons lucides - si je fais ça, je risque de me retrouver plantée dans l'encadrement de sa porte à bredouiller, paniquée, que je suis là parce que j'ai une question urgente à lui poser sur la Mésopotamie).
Par ailleurs, entre temps, le collège entier a décidé que je devais épouser Alf, qui s'est d'ailleurs gentiment proposé pour me faire des enfants ("Si toi et moi on a des enfants..." m'a t-il dit au dessert l'autre jour, à propos de rien). J'ai eu beau lui dire que je voulais appeler mon fils Pirlouit, ça ne l'a pas dissuadé (si c'est pas de l'amour, ça). En même temps, Alf et moi, avec nos deux bonnes tignasses de rouquins et sa pilosité foisonnante, on pourrait faire des petits ours, ça serait rigolo. Mais bon, Alf est prof de maths (il entretient le cliché), et, même si j'étais prête à passer outre la queue de cheval et le pantalon en velours vert côtelé - je ne le suis pas -, certains obstacles resteraient infranchissables (pas autant que le pantalon en velours et la queue de cheval, cela dit). En effet, quand je cite Romain Gary, Alf me répond en citant Gödel. (Peut-être a t-il lu A Date with Ariane, le petit malin ?). Bref, nos échanges sont de haute volée, je vous l'accorde (ça frime à la cantine), mais on avance assez peu. (Je ne suis pas très bonne en maths). (Reprenons : je suis une quiche intersidérale en maths). (En seconde, j'ai eu un 3/20 de moyenne. Mais c'est uniquement parce que le prof avait remonté la moyenne de tout le monde de 1,5 points).
Sinon je suis récemment tombée éperdument amoureuse de Romain Gary, mais hélas, Romain Gary est mort en 1980, un an avant ma naissance, à l'âge de 65 ans...
Encore une belle histoire d'amour qui n'aura pas lieu à cause d'une sombre histoire de timing.
Voilà voilà. Hum.
Je vous présente toutes mes confuses, je n'ai malheureusement rien de plus croustillant à raconter. On ne me dépose pas des missives d'amour ni des peignes pubiens dans mon casier, moi.
Oui parce que l'autre jour, Lady V est entrée dans son bureau à la fac pour découvrir qu'un de ses collègues s'y était introduit en son absence pour déposer sur sa table 1) une lettre d'amour et 2) un petit peigne. "Oh, un peigne de poupée, c'est mignon", s'est-elle tout d'abord exclamée, un peu interloquée. Puis elle a lu la lettre. Lettre qui lui révélait la nature réelle du mystérieux petit peigne.
...
Un peigne pubien. Un peigne pubien, quoi.
Bref.
Autre petite anecdote en passant : l'autre jour, j'ai reçu un message de quelqu'un (Martin Cannavo) dont je tiens à respecter l'anonymat (c'est Martin Cannavo), qui a répondu à un message que je lui avais envoyé (à Martin Cannavo). Martin Cannavo m'a écrit, quoi. MARTIN CANNAVO M'A ECR... Enfin bref, voilà, quoi, la routine. Hum.
Martin Cannavo à qui je lève mon verre pour son ascension fulgurante dans le Top 10 du blog (un peu l'apothéose de sa carrière, quoi).
En effet, il ne vous aura pas échappé que Ma Sélection Automne-Hiver est désormais n°2, juste aprèsMe, Myself and I Scarlett Johansson, et a donc supplanté, en un mois
seulement, les cinquante-trois autres papiers que j'ai écrits dans les
huit derniers mois. (On remarquera que pas un seul de mes papiers censés être les meilleurs ne figurent dans ce top 10, d'ailleurs).
Bref, disons-les choses comme elles sont : je pourrais me vanter d'attirer les foules non pas avec mon cul mais avec mon esprit, oui, sauf qu'en fait non. Soyons honnêtes, n'ayons pas peur des mots : j'attire les foules avec le torse de Martin Cannavo et les nichons de Scarlett Johansson.
(Je suis une grosse pimp, quoi).
C'est donc un peu à eux que je dois ma gloire. Et mes 9800 pages consultées à ce jour.
(Les gens arrivent désormais quasiment aussi souvent sur le blog en tapant "Martin Cannavo" qu'en tapant "Ich bin eine midinette").
Supportant mal la concurrence, j'ai donc décidé que j'allais moi aussi donner de ma personne pour faire de l'audimat. (Non mais). Je vous annonce donc que c'est décidé : à 10 000 pages consultées, j'enlève le haut !
(Après tout, j'ai vu Martin Cannavo en caleçon un nombre incalculable de fois à son insu, et je pense qu'il est du coup un peu de mon devoir de lui montrer mes seins. Si si. J"insiste. Ca n'est que justice).
D'ici-là je vais travailler mon rôle de fille de joie pour ce week-end. Eh oui : non seulement je sais susciter l'intérêt de tous les mannequins et acteurs de France et de Navarre (réunis en toi, donc, Martin), mais je suis moi-même en passe de devenir une grande actrice.
En effet, suite à ma merveilleuse performance dans leur dernier film où j'incarnais superbement une vierge à tête de cerf sacrifiée sur la place du marché par le gourou du village (mon frère) - un rôle muet que j'ai su interpréter avec talent même si on ne voyait pas mon visage (huhu) - mes cousins et amis m'ont à nouveau recrutée pour leur nouveau film. Cette fois-ci - grosse promotion - je suis une pute dans un bordel londonien du 19ème siècle. A moi les bas, les porte-jarretelles, la dentelle blanche, les bottines lacées, et les beaux marins. Je suis en effet censée recueillir dans mes bras mon copain Vince - marin fraîchement débarqué en ville - à la suite d'une violente démonstration de virilité au comptoir du bordel. Tout un programme. (Enfin ça, c'est avant que le singe tueur ne vienne m'éviscérer) (si j'ai bien compris).
Aperçu des personnages principaux :
Je vous raconterai. En effet, il ne vous aura pas échappé que Ma Sélection Automne-Hiver est désormais n°2, juste après
Bref, disons-les choses comme elles sont : je pourrais me vanter d'attirer les foules non pas avec mon cul mais avec mon esprit, oui, sauf qu'en fait non. Soyons honnêtes, n'ayons pas peur des mots : j'attire les foules avec le torse de Martin Cannavo et les nichons de Scarlett Johansson.
(Je suis une grosse pimp, quoi).
C'est donc un peu à eux que je dois ma gloire. Et mes 9800 pages consultées à ce jour.
(Les gens arrivent désormais quasiment aussi souvent sur le blog en tapant "Martin Cannavo" qu'en tapant "Ich bin eine midinette").
Supportant mal la concurrence, j'ai donc décidé que j'allais moi aussi donner de ma personne pour faire de l'audimat. (Non mais). Je vous annonce donc que c'est décidé : à 10 000 pages consultées, j'enlève le haut !
(Après tout, j'ai vu Martin Cannavo en caleçon un nombre incalculable de fois à son insu, et je pense qu'il est du coup un peu de mon devoir de lui montrer mes seins. Si si. J"insiste. Ca n'est que justice).
D'ici-là je vais travailler mon rôle de fille de joie pour ce week-end. Eh oui : non seulement je sais susciter l'intérêt de tous les mannequins et acteurs de France et de Navarre (réunis en toi, donc, Martin), mais je suis moi-même en passe de devenir une grande actrice.
En effet, suite à ma merveilleuse performance dans leur dernier film où j'incarnais superbement une vierge à tête de cerf sacrifiée sur la place du marché par le gourou du village (mon frère) - un rôle muet que j'ai su interpréter avec talent même si on ne voyait pas mon visage (huhu) - mes cousins et amis m'ont à nouveau recrutée pour leur nouveau film. Cette fois-ci - grosse promotion - je suis une pute dans un bordel londonien du 19ème siècle. A moi les bas, les porte-jarretelles, la dentelle blanche, les bottines lacées, et les beaux marins. Je suis en effet censée recueillir dans mes bras mon copain Vince - marin fraîchement débarqué en ville - à la suite d'une violente démonstration de virilité au comptoir du bordel. Tout un programme. (Enfin ça, c'est avant que le singe tueur ne vienne m'éviscérer) (si j'ai bien compris).
Aperçu des personnages principaux :
moi |
mon marin |
le singe tueur |
(cela dit, je pense qu'il aura plutôt une queue de pie et un haut de forme)
Sinon je vous préviens : j'essaye très fort de vous faire croire que je ressemble à Lauren Bacall, mais à en croire le dernier article de notre cher odieux, je suis une gourde nymphomane à couettes et je ressemble à ça (la photographie exacte d'une fille intelligente ET drôle, donc) :
(le pire c'est que ça n'est pas complètement faux)
(enfin avec les seins en moins, quoi)
(haha)
"Bref, disons-les choses comme elles sont : je pourrais me vanter d'attirer les foules non pas avec mon cul mais avec mon esprit, oui, sauf qu'en fait non."
RépondreSupprimerBen moi je te vais te dire une chose, déjà "les foules" sont pourvues d'un pourcentage de connards gigantesque, et d'autre part moi j'aime ton esprit ! ET ON NE DISCUTE PAS bordel !!!! Tu vas pas nous faire une déprime pré-hivernale quand même! C'est tout ce qui me vient là, je suis vraiment HS, mais je relirai, passe une bonne nuit Mistouflette!
C'est gentil Jo mais je suis pas déprimée du tout, en fait. C'était une BLAGUE. Ca s'entendait pas que c'était une blague ? Bon alors je le dis : c'était une blague. Pour de rire, tout ça :)
SupprimerJe viens de te relire, dans un état moins terrifiant qu'hier, et je dois dire que je vendrais bien mon âme à un dieu catho ou autre (je déconne hein (oui, mon âme c'est la mienne, pas celle d'un con que les humains ont inventé pour justifier leurs merdes dégueu), mais bordel je donnerais beaucoup, juste du temps si je pouvais en avoir (je vais m'entrainer à inventer du temps, chose difficile, mais la magie peut agir)) pour assister à ce tournage ! Et je ne manquerais pas de faire ce que Martin n'a pas osé sans doute (tu dois l'intimider j'en suis certain !) : t'inviter au restau histoire de regarder dans les yeux une jeune femme drôle et intelligente (et canon, n'en déplaise à l'odieux connard), et se payer un joli moment plein de fous rires suivis de silences (oui parce que chez moi un fou rire est suivi d'un long silence, vu que je regarde mes godasses tout en essayant d'avoir l'air normal).
RépondreSupprimerSinon, je vais juste réécrire ce que tu as aimé de moi hier, parce que je suis content que tu aies aimé : "l'in-fini" te va bien.
Mais j'aimerais bien savoir en fait ce qui ne te va pas, n'es-tu pas LA FEMME!
Enfin si, une chose ne te va pas, mes grossièretés que tu effaces de mes commentaires !:d Pourtant j'y mets des formes hein !! :p
C'est parce que je suis une princesse ! On ne peut pas me dire n'importe quoi ! :)
SupprimerSinon je te rassure tout de suite : il a osé ! (dans sa grande témérité) (le veinard). (Mais vous ne saurez rien !) (désolée).
Oui, c'est vrai, je te considère comme une princesse! Mais je suis un vieux troll, j'ai un mal fou à rester le chevalier servant lointain et sans reproche que je devrais être. Un troll (au sens du conte, pas du net) reste un vieux machin tueur, lourdaud, et disgracieux plus pour faire sourire que pour dégoûter, et aussi pas pudeur je crois! Mais il me reste encore quelques relents de coeur qui trainent enfouis dans un gros tas de daubasse!
RépondreSupprimerBen, ça alors c'est super qu'il t'ait écrit! Oui, c'est un sacré veinard, je confirme!!!!!!!!!!!!!!!:)
On ne saura rien, oui, ben c'est ta vie, mais merde après nous avoir impliqués au point de signer une pétition, c'est dur de ne pas savoir.